Séjours thématiques
Avec sa belle diversité de paysages et d'activités, l'archipel de la Guadeloupe offre une riche palette de séjours insolites, des balades bien balisées (sur terre comme en mer), de découverte de la flore tropicale, dense et odorante, d'un patrimoine chargé d'histoire, et d'un présent bien vivant. Partout, des parcours pour les plongeurs, les marcheurs, les amateurs de vraies randonnée, de trekking plus ou moins sportifs, sans parler des adeptes de farniente sur les plages, qui trouveront forcément leur bonheur en Guadeloupe.
Activités nautiques et plongée
Les amateurs de plongée, qu'ils soient débutants ou expérimentés, pourront sonder des fonds sous-marins exceptionnels en longeant les rochers des grandes anses, et en remontant le long des côtes rocheuses. Les férus de sports nautiques savent que les Antilles sont réputées pour leur climat et leur régime de vents, propices à la voile.
Loin des cités balnéaires de Grande-Terre, les côtes bordant les plages sableuses de Basse-Terre et les formations coralliennes au large sont de formidables terrains d'observation marine. Dans les eaux côtières tropicales, la luminosité diminue de moitié tous les dix mètres. Ainsi, les différents sites de plongée s'offrent au regard dès les premiers mètres, et permettent d’évoluer à la lumière solaire. Parée de paysages virginaux, la Guadeloupe est une destination « plongée » mondialement connue. Les coraux fragiles abritent encore des jardins aquatiques à préserver.
On peut aussi prendre un bateau, puis couper le moteur pour s'ancrer près de la barrière de corail, ressentir le calme apaisant des eaux avant de se laisser glisser en apesanteur dans ce monde marin, pour nager de concert avec les petits poissons bleus fluorescents, les anémones et étoiles de mer, les tortues et concombres de mer... Les plongeurs du monde entier viennent découvrir ces eaux translucides qui restent toute l’année à bonne température, autour de 27°C. Anse-à-Machette, Anse-à-Sable, la Barque, Anse-à-Négresse, Anse-à-Zombi : autant de noms évocateurs pour des criques, anses et plages paradisiaques, lagons et îlets hospitaliers...
Loin des cités balnéaires de Grande-Terre, les côtes bordant les plages sableuses de Basse-Terre et les formations coralliennes au large sont de formidables terrains d'observation marine. Dans les eaux côtières tropicales, la luminosité diminue de moitié tous les dix mètres. Ainsi, les différents sites de plongée s'offrent au regard dès les premiers mètres, et permettent d’évoluer à la lumière solaire. Parée de paysages virginaux, la Guadeloupe est une destination « plongée » mondialement connue. Les coraux fragiles abritent encore des jardins aquatiques à préserver.
On peut aussi prendre un bateau, puis couper le moteur pour s'ancrer près de la barrière de corail, ressentir le calme apaisant des eaux avant de se laisser glisser en apesanteur dans ce monde marin, pour nager de concert avec les petits poissons bleus fluorescents, les anémones et étoiles de mer, les tortues et concombres de mer... Les plongeurs du monde entier viennent découvrir ces eaux translucides qui restent toute l’année à bonne température, autour de 27°C. Anse-à-Machette, Anse-à-Sable, la Barque, Anse-à-Négresse, Anse-à-Zombi : autant de noms évocateurs pour des criques, anses et plages paradisiaques, lagons et îlets hospitaliers...
Les hôtels, résidences hôtelières, gîtes... ont quasiment tous des partenariats avec un club de plongée, ce qui permet généralement de bénéficier d'un tarif préférentiel. Dans certains, il est proposé une initiation en piscine pour se familiariser avec le matériel.
Les clubs de plongée locaux, installés dans les bourgs et villes à vocation balnéaire, ainsi que des plongeurs indépendants (plus ou moins diplômés) proposent des baptêmes et des sorties en mer. En longeant le littoral sous-le-Vent, on découvre de nombreux panoramas sur les îlets Pigeon (surnommée la Réserve Cousteau et haut lieu de la plongée sous marine), puis Bouillante (cité géothermale, sources d’eau chaude), autour de l’île de Montserrat ou au départ de Pointe-Noire.
Pour les aventuriers en herbe, prendre les bateaux de pêche de Bouillante vers les îlets Pigeon, ou ceux de Sainte-Rose vers l'îlet Caret. Masque et tuba suffisent pour voir de gros poissons ! Si l'on veut avoir la chance d'apercevoir des cétacés, il faut aller au large de Deshaies ou d'Anse-Bertrand. Depuis les ports du Lamentin ou de Sainte-Rose, on peut aussi explorer en bateau ou canoë l’étonnante réserve naturelle de Grand Cul-de-sac marin, et découvrir la mystérieuse mangrove, avec sa flore et sa faune extraordinaires qui survivent entre terre et mer.
Les clubs de plongée locaux, installés dans les bourgs et villes à vocation balnéaire, ainsi que des plongeurs indépendants (plus ou moins diplômés) proposent des baptêmes et des sorties en mer. En longeant le littoral sous-le-Vent, on découvre de nombreux panoramas sur les îlets Pigeon (surnommée la Réserve Cousteau et haut lieu de la plongée sous marine), puis Bouillante (cité géothermale, sources d’eau chaude), autour de l’île de Montserrat ou au départ de Pointe-Noire.
Pour les aventuriers en herbe, prendre les bateaux de pêche de Bouillante vers les îlets Pigeon, ou ceux de Sainte-Rose vers l'îlet Caret. Masque et tuba suffisent pour voir de gros poissons ! Si l'on veut avoir la chance d'apercevoir des cétacés, il faut aller au large de Deshaies ou d'Anse-Bertrand. Depuis les ports du Lamentin ou de Sainte-Rose, on peut aussi explorer en bateau ou canoë l’étonnante réserve naturelle de Grand Cul-de-sac marin, et découvrir la mystérieuse mangrove, avec sa flore et sa faune extraordinaires qui survivent entre terre et mer.
Randonnée
De nombreux sentiers sur Basse-Terre et Grande-Terre
Les durées des balades répertoriées varient du quart d'heure de marche à une bonne journée. En Grande-Terre, la route du littoral et celle de la Traversée abritent plusieurs chemins de crête qui offrent des vues spectaculaires, comme à la Pointe du Château, après Saint-François, ou vers les immenses falaises du Nord, aux sites bien nommés de la Porte de l'Enfer ou de la Pointe de la vigie.
Basse-Terre, paradis des randonneurs
Contrairement à ce que le nom pourrait faire croire, le relief de l'aile Est est escarpé, volcanique. Irrigué par des rivières sauvages finissant en torrents, cascades et bassins d'eau douce, il ménage des baignades rafraîchissantes en récompense aux petits efforts de la marche. L'ascension de la Soufrière (1467 m, sommet de l’archipel) est incontournable, tout comme les marches plus gourmandes autour du Morne Michot (avec des haltes dans ses jardins créoles), la découverte des zones autorisées des chutes du Carbet (joyau du parc national de Guadeloupe) ou encore un voyage à travers l'exubérante forêt primaire. Les randonnées aquatiques dans la rivière, au cœur de la forêt, invitent les plus téméraires aux joies du canyoning entre glissades ludiques sur des rochers toboggans et grands sauts dans les bassins, à des bivouacs en forêt tropicale...
L’option la plus aventureuse
Emprunter sur toute la longueur de Basse-Terre l’ancien GR G1, autrefois chemin de grande randonnée, déclassé car trop difficile à entretenir. Une randonnée faisable en 7 ou 8 étapes, à bien préparer (avec ou sans guide), en ayant pris soin de vérifier l'état des sentiers et des sites. Les randonnées se définissent en 4 niveaux (niveau 1 ou 2 : très faciles, familiaux, sur des chemins bien tracés avec des passages moins faciles ; puis niveau 3 ou 4, moyens, pour habitués de la randonnée avec passages sportifs à difficiles pour randonneurs expérimentés). Les marches les plus exigeantes empruntent des chemins pouvant être escarpés, souvent boueux, qui traversent des rivières (itinéraires déconseillés par temps de pluie). En se basant à Basse-Terre, en un lieu stratégique qui permet de joindre facilement Vieux-Habitants, Pointe-Noire, Deshaies, Trois-Rivières, Goyave, Petit-Bourg et Pointe-à-Pitre, on rayonne en voiture et l'on peut arriver à l'heure aux différents points de rayonne en voiture et l'on peut arriver à l'heure aux différents points de départ des randonnées.
Suivre et comprendre les « Traces-Mémoires »
Des sites patrimoniaux liés à la mémoire de l'esclavage et à la période coloniale dans les Caraïbes jalonnent le paysage de l'archipel et peuvent constituer une thématique de séjour. Ces circuits de l'histoire guadeloupéenne s'attachent à faire connaitre les lieux de mémoire liés à ce passé douloureux encore prégnant. Les sites historiques (marches aux esclaves de Petit-Canal, le fort Delgrès de Basse-Terre..., les habitations transformées en écomusées, les domaines agricoles, les distilleries abandonnées ou encore en activité : autant de témoignages économiques et sociaux, anciens et contemporains, qui se visitent souvent avec force émotion. Pour la détente (toujours au programme), de nombreuses haltes sont possibles au fil des routes : restaurants, tables d'hôtes, promenades dans les jardins botaniques, visites de plantations, plages...
Si vous souhaitez vous intéresser à la thématique de l'histoire de l'île à l'époque coloniale, le Conseil départemental a mis en place une signalétique routière. Des totems en français, créole et anglais qui permettent de guider le visiteur vers les sites concernés par l'esclavage. Une carte localisant tous les sites est disponible au musée Schoelcher situé à Pointe-à-Pitre. Le Mémorial ACTe, centre d'expression caribéen situé à Pointe-à-Pitre, constitue une halte de choix en la matière.