Si vous comptez rester sur Grande-Terre, prenez une journée ou deux pour visiter Pointe à Pitre, mais choisissez plutôt votre hébergement au Gosier, à Sainte-Anne, au Moule ou à Saint-François. Vous serez plus près des belles plages !
Histoire
En 1654, un armateur juif hollandais dénommé Peter, qui avait échoué à Pointe à Pitre après son expulsion du Brésil, raconte dans ses souvenirs qu'il vendait son poisson près d’une pointe rocheuse, le long d’une jetée située au bas du fort Saint-Louis. Le lieu-dit a pris le nom de « Pointe à Peter » et le petit village, établi par la suite près du vieux fort, a ensuite été baptisé Pointe-à-Pitre. Selon d’autres sources, il faudrait plutôt, pour retrouver l'origine du nom, chercher du côté de la rivière à Pitres, mentionnée sur certaines cartes du XVIe siècle. Enfin, selon une troisième hypothèse, « Pitre » viendrait du mot espagnol pitera, un arbuste parasite du palétuvier.
Capitale économique de l'île, Pointe-à-Pitre ne prend véritablement son essor qu’avec l’occupation anglaise. A cette époque, la ville est une zone insalubre et marécageuse située au milieu du morne Renfermé, point de départ du développement de la ville. Grâce à la main-d'œuvre esclave, les Anglais vont y effectuer de vastes travaux d’assainissement et posent les bases du développement des échanges maritimes. Un petit port est créé pour combler les marécages. En 1748, les habitants d’un bourg voisin rattachent leur commune à la mer par l’actuelle rue Frébault.
En 1763, les Français reprennent l’île ; le gouverneur de la Bourlamaque apporte désormais un soutien régulier au développement de la ville qui sera marquée par la Révolution, mais plus encore par le tremblement de terre de 1843. Détruite presque entièrement par le séisme, puis reconstruite en 1847, elle connaîtra d’autres fléaux et catastrophes naturelles : épidémie de choléra en 1865, incendie en 1899, conflits sociaux à la fin du XIXe siècle, violents cyclones en 1928 et 1989.
Après la construction en 1869 de l’usine Darboussier à Carénage, Pointe-à-Pitre devient un centre industriel important. Jusqu’en 1974, l'usine à sucre accueille toute la canne de la région, grâce à un système ferroviaire venant de Baie-Mahault, de Petit-Bourg et d’une partie de Grande-Terre.
L’arrivée des premiers hydravions à la Darse, à partir de 1935, en provenance de métropole, donne un nouvel essor à la ville jusqu’en 1966, date à laquelle la Guadeloupe construit son premier aérodrome au Raizet. Pointe-à-Pitre devient donc le poumon économique de la Guadeloupe.
Après la construction en 1869 de l’usine Darboussier à Carénage, Pointe-à-Pitre devient un centre industriel important. Jusqu’en 1974, l'usine à sucre accueille toute la canne de la région, grâce à un système ferroviaire venant de Baie-Mahault, de Petit-Bourg et d’une partie de Grande-Terre.
L’arrivée des premiers hydravions à la Darse, à partir de 1935, en provenance de métropole, donne un nouvel essor à la ville jusqu’en 1966, date à laquelle la Guadeloupe construit son premier aérodrome au Raizet. Pointe-à-Pitre devient donc le poumon économique de la Guadeloupe.
La ville aujourd'hui
Le passage du cyclone Hugo en 1989 a été terrible pour la capitale, comme sur tout l'archipel. La ville conserve cependant quelques vastes maisons coloniales à balcons de bois, que le promeneur découvre, égarées au milieu de hauts immeubles de béton. Certaines de ces bâtisses sont à l'abandon. Une association de quartier nommée Pli Bel La Ri (« Plus belle la rue ») met en valeur les façades du centre ancien de la ville (quartier Vatable) en les repeignant. Ces actions sont menées par les habitants qui améliorent ainsi leur cadre de vie. Une belle initiative qui donne de l'élan car les propriétaires des maisons alentour jouent le jeu en rénovant à leur tour leur bien immobilier.
Le centre-ville piétonnier offre une alternative bienvenue à la circulation, intense, tout comme l'animation commerciale autour du marché et des rues adjacentes. La vie nocturne se déplace vers la marina, et la périphérie se développe : les Abymes au nord, le Gosier à l’est, Jarry et Baie-Mahault à l’ouest.
Depuis quelques années, Pointe-à-Pitre s'est engagée dans de nombreux chantiers de rénovation urbaine. Près de 80 % du territoire est concerné par des projets ambitieux qui visent à remodeler la ville dans son ensemble et à lui donner un nouvel essor mais également un nouvel aspect grâce à la réhabilitation de ses quartiers et de son littoral.
Depuis quelques années, Pointe-à-Pitre s'est engagée dans de nombreux chantiers de rénovation urbaine. Près de 80 % du territoire est concerné par des projets ambitieux qui visent à remodeler la ville dans son ensemble et à lui donner un nouvel essor mais également un nouvel aspect grâce à la réhabilitation de ses quartiers et de son littoral.
Tourisme – Culture
COMITÉ DU TOURISME DES ÎLES DE GUADELOUPE
5, square de la Banque
✆ 05 90 82 09 30
www.lesilesdeguadeloupe.com
[email protected]
A proximité de la place de la Victoire et du marché.
Accueil public du lundi au vendredi de 8h à 17h, et le samedi de 8h à 13h. Informations et communications touristiques, salons professionnels, et mise en relation avec le réseau d’agences locales (offices de tourisme et syndicats d’initiative).
Dans un superbe bâtiment néo-classique datant du début du siècle, cet office départemental de tourisme est immanquable quand on se trouve place de la Victoire. La profusion de documents mis à disposition du public est impressionnante. Catalogues, brochures et cartes diverses en libre-service abondent, et le site Internet agrémenté de petites vidéos assure une promotion attractive, autant pour le patrimoine naturel et humain de l'archipel que pour l'attrait commercial des divers établissements d'accueil. Les agents, très disponibles, pourront vous renseigner sur de nombreux sujets : réservations, sites à visiter... Une antenne Europe du CTIG cible aussi les visiteurs européens du Nord.
5, square de la Banque
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www.lesilesdeguadeloupe.com
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A proximité de la place de la Victoire et du marché.
Accueil public du lundi au vendredi de 8h à 17h, et le samedi de 8h à 13h. Informations et communications touristiques, salons professionnels, et mise en relation avec le réseau d’agences locales (offices de tourisme et syndicats d’initiative).
Dans un superbe bâtiment néo-classique datant du début du siècle, cet office départemental de tourisme est immanquable quand on se trouve place de la Victoire. La profusion de documents mis à disposition du public est impressionnante. Catalogues, brochures et cartes diverses en libre-service abondent, et le site Internet agrémenté de petites vidéos assure une promotion attractive, autant pour le patrimoine naturel et humain de l'archipel que pour l'attrait commercial des divers établissements d'accueil. Les agents, très disponibles, pourront vous renseigner sur de nombreux sujets : réservations, sites à visiter... Une antenne Europe du CTIG cible aussi les visiteurs européens du Nord.
SYNDICAT D’INITIATIVE DE POINTE-À-PITRE
1 Marina
✆ 05 90 90 70 02
[email protected]
A côté du restaurant Le Pirate Caribéen
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 14h30 à 17h30, le samedi de 9h à 12h.
Située sur la marina de Pointe à Pitre – Le Gosier, dans une petite case typique.
Vous trouverez toute la documentation nécessaire pour découvrir la Guadeloupe et ses dépendances.
1 Marina
✆ 05 90 90 70 02
[email protected]
A côté du restaurant Le Pirate Caribéen
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 14h30 à 17h30, le samedi de 9h à 12h.
Située sur la marina de Pointe à Pitre – Le Gosier, dans une petite case typique.
Vous trouverez toute la documentation nécessaire pour découvrir la Guadeloupe et ses dépendances.
Réceptifs
RIVERAIN TOURS
3 Rue Frébault
✆ 05 90 91 72 10
www.rivtours.com
[email protected]
Situé dans la quartier le plus commerçant de la ville
Agence ouverte de 8h30 à 12h30 et de 14h30 à 17h, le samedi de 9h à 12h. Et de 8h30 à 17h en haute saison pendant la semaine.
Une agence de voyage guadeloupéenne, forte de plus de 15 années d’expérience, qui sera parfaitement à même de vous guider quel que soit votre type de séjour. Vous pouvez découvrir des promos séjours et des croisières aux tarifs attractifs. Possibilité d'acheter son billet d'avion en ligne également.
Autres adresses : Basse-Terre : 4, rue Christophe-Colomb ✆ 05 90 25 50 14 • Le Moule : 42, rue Saint-Jean ✆ 05 90 23 15 74 • Marie-Galante : 3, rue de l'Eglise à Grand-Bourg ✆ 05 90 97 94 00
3 Rue Frébault
✆ 05 90 91 72 10
www.rivtours.com
[email protected]
Situé dans la quartier le plus commerçant de la ville
Agence ouverte de 8h30 à 12h30 et de 14h30 à 17h, le samedi de 9h à 12h. Et de 8h30 à 17h en haute saison pendant la semaine.
Une agence de voyage guadeloupéenne, forte de plus de 15 années d’expérience, qui sera parfaitement à même de vous guider quel que soit votre type de séjour. Vous pouvez découvrir des promos séjours et des croisières aux tarifs attractifs. Possibilité d'acheter son billet d'avion en ligne également.
Autres adresses : Basse-Terre : 4, rue Christophe-Colomb ✆ 05 90 25 50 14 • Le Moule : 42, rue Saint-Jean ✆ 05 90 23 15 74 • Marie-Galante : 3, rue de l'Eglise à Grand-Bourg ✆ 05 90 97 94 00
Sortir
La majeure partie des points d'intérêt se situe au centre historique de Pointe-à-Pitre, entre les quais et les boulevards. Si vous arrivez en voiture, le mieux est de trouver une place, de se garer puis de finir la route à pied. Les boutiques ferment en règle générale à 18h. Les rues se vident rapidement, chacun se hâtant d’attraper les derniers bus de la Darse. Il n’y a guère que sur la place de la Victoire que vous trouverez encore un verre à boire en bonne compagnie, bien qu’il soit tout de même préférable de vous diriger vers la marina, car c’est là-bas que tout se passe. Et comme malheureusement partout dans le monde : attention, la nuit dans certains quartiers ! Pour les adresses sur la Marina, se rapporter à la partie « Le Gosier ».
CINÉMA REX
Rue René-Wachter
✆ 05 90 82 07 64 / 0 892 70 24 63
www.rexdarbaud.com
[email protected]
Derrière le bâtiment de la Chambre de Commerce et d'Industrie.
Période scolaire : lundi et mardi de 17h30 à 22h30, du mercredi au dimanche de 13h15 à 22h. Vacances scolaires : du lundi au dimanche de 13h15 à 22h. Plein tarif : 8 €, 3D : 10 €, tarif réduit : 6 €, lunettes 3D : 2 €.
Trouver une place de stationnement n'est pas la partie la plus aisée à certaines heures de la journée. Nous déconseillons aux femmes seules de s'y rendre le soir.
Rue René-Wachter
✆ 05 90 82 07 64 / 0 892 70 24 63
www.rexdarbaud.com
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Derrière le bâtiment de la Chambre de Commerce et d'Industrie.
Période scolaire : lundi et mardi de 17h30 à 22h30, du mercredi au dimanche de 13h15 à 22h. Vacances scolaires : du lundi au dimanche de 13h15 à 22h. Plein tarif : 8 €, 3D : 10 €, tarif réduit : 6 €, lunettes 3D : 2 €.
Trouver une place de stationnement n'est pas la partie la plus aisée à certaines heures de la journée. Nous déconseillons aux femmes seules de s'y rendre le soir.
À voir – À faire
ÉGLISE SAINT-PIERRE-ET-SAINT-PAUL
17 rue de la République
✆ 05 90 82 02 17
www.catholique-guadeloupe.info/paroisse
Construite en 1807 puis détruite en 1843 par un violent tremblement de terre, cette remarquable église a été reconstruite par l'architecte Alexandre Petit venu de métropole. Elle a ensuite été remaniée en 1867 en raison de la faiblesse du toit. Cette église surélevée, à la façade néo-classique blanche et sable, a fière allure en haut de ses marches. Sur sa devanture sont présents les deux saints patrons saint Pierre et saint Paul, entourés par les quatre évangélistes. A l’intérieur, la hauteur de la nef surprend les visiteurs et les colonnes aux chapiteaux néogothiques ne laissent pas indifférent. Pourtant, elle a connu les catastrophes naturelles qui ont terrassé la ville maintes fois... Depuis qu'elle porte sa charpente métallique, elle semble résister aux forces de la nature. Cathédrale, siège des grandes cérémonies religieuses de la paroisse, elle est aujourd'hui inscrite aux monuments historiques et reste l'édifice religieux le plus important de la ville de Pointe-à-Pitre. Orgue admirable à l'intérieur.
17 rue de la République
✆ 05 90 82 02 17
www.catholique-guadeloupe.info/paroisse
Construite en 1807 puis détruite en 1843 par un violent tremblement de terre, cette remarquable église a été reconstruite par l'architecte Alexandre Petit venu de métropole. Elle a ensuite été remaniée en 1867 en raison de la faiblesse du toit. Cette église surélevée, à la façade néo-classique blanche et sable, a fière allure en haut de ses marches. Sur sa devanture sont présents les deux saints patrons saint Pierre et saint Paul, entourés par les quatre évangélistes. A l’intérieur, la hauteur de la nef surprend les visiteurs et les colonnes aux chapiteaux néogothiques ne laissent pas indifférent. Pourtant, elle a connu les catastrophes naturelles qui ont terrassé la ville maintes fois... Depuis qu'elle porte sa charpente métallique, elle semble résister aux forces de la nature. Cathédrale, siège des grandes cérémonies religieuses de la paroisse, elle est aujourd'hui inscrite aux monuments historiques et reste l'édifice religieux le plus important de la ville de Pointe-à-Pitre. Orgue admirable à l'intérieur.
MÉMORIAL ACTE
Rue Raspail
✆ 05 90 25 16 00
www.memorial-acte.fr
[email protected]
Ouvert du mardi au samedi de 9h à 19h. Le dimanche de 10h à 18h. Entrée : 15 € par adulte et 10 € en tarif réduit (- 18 ans, + 65 ans, personnes handicapées, étudiants, chercheurs d’emploi). Un audio-guide (gratuit) en français, anglais, espagnol, italien, allemand et créole vous est remis au début de la visite. Accès possible par la mer pour les croisiéristes et les plaisanciers par un ponton aménagé sous réserve d’autorisation préalable de la direction. Comptez au minimum 2 heures de visite pour avoir le temps de découvrir les différents espaces de l’histoire de l’esclavage de l’Antiquité à nos jours. Tarifs de groupes disponibles à partir de 8 personnes sur réservation obligatoire. Les sacs, téléphones et appareils photos sont à déposer à la consigne (jeton : 1 €) à l’entrée.
Le Mémorial ACTe a été inauguré en grande pompe le 10 mai 2015, jour de la commémoration de l’esclavage en France métropolitaine par le président François Hollande. De nombreux chefs d’Etat de la Caraïbe et d’Afrique avaient fait le déplacement pour l’occasion. Ce monument est érigé sur le site de Darboussier qui fut la plus grande unité sucrière des Antilles en mémoire aux victimes de l’esclavage et de la traite négrière. Il est conçu comme un centre caribéen d’expressions polyvalent doté d’un mémorial et non pas comme un musée traditionnel avec une exposition figée. Au 7 juillet 2016, date de son premier anniversaire, il avait déjà accueilli 160 000 visiteurs. L'objectif est maintenant d'atteindre 200 000 visiteurs par an. L’édifice de 7 800 m2 abrite une salle d’exposition permanente de 1 700 m2 dotée de 36 îlots thématiques et une autre salle d’exposition temporaire de 700 m2. Les visiteurs sont accueillis dans le patio monumental appelé « arbre de vie ». Un espace de recherches généalogiques regroupe 6 000 à 8 000 arbres généalogiques de familles guadeloupéennes. Une passerelle de 11,5 mètres de haut et de 275 mètres de long offre une balade entre ciel et terre qui mène au « Morne Mémoire », un jardin panoramique de 2,2 ha où étaient situés la maison du maître, un vinaigrier et le cimetière d'esclaves. Egalement sur place deux restaurants, un glacier, une librairie, une salle de congrès de 400 m2 et une terrasse ouverte pouvant accueillir jusqu’à 600 personnes. La boutique est située en fin de visite mais elle n'est pas particulièrement signalée. Le Mémorial ACTe a reçu le Prix du musée 2017 du Conseil de l'Europe.
Rue Raspail
✆ 05 90 25 16 00
www.memorial-acte.fr
[email protected]
Ouvert du mardi au samedi de 9h à 19h. Le dimanche de 10h à 18h. Entrée : 15 € par adulte et 10 € en tarif réduit (- 18 ans, + 65 ans, personnes handicapées, étudiants, chercheurs d’emploi). Un audio-guide (gratuit) en français, anglais, espagnol, italien, allemand et créole vous est remis au début de la visite. Accès possible par la mer pour les croisiéristes et les plaisanciers par un ponton aménagé sous réserve d’autorisation préalable de la direction. Comptez au minimum 2 heures de visite pour avoir le temps de découvrir les différents espaces de l’histoire de l’esclavage de l’Antiquité à nos jours. Tarifs de groupes disponibles à partir de 8 personnes sur réservation obligatoire. Les sacs, téléphones et appareils photos sont à déposer à la consigne (jeton : 1 €) à l’entrée.
Le Mémorial ACTe a été inauguré en grande pompe le 10 mai 2015, jour de la commémoration de l’esclavage en France métropolitaine par le président François Hollande. De nombreux chefs d’Etat de la Caraïbe et d’Afrique avaient fait le déplacement pour l’occasion. Ce monument est érigé sur le site de Darboussier qui fut la plus grande unité sucrière des Antilles en mémoire aux victimes de l’esclavage et de la traite négrière. Il est conçu comme un centre caribéen d’expressions polyvalent doté d’un mémorial et non pas comme un musée traditionnel avec une exposition figée. Au 7 juillet 2016, date de son premier anniversaire, il avait déjà accueilli 160 000 visiteurs. L'objectif est maintenant d'atteindre 200 000 visiteurs par an. L’édifice de 7 800 m2 abrite une salle d’exposition permanente de 1 700 m2 dotée de 36 îlots thématiques et une autre salle d’exposition temporaire de 700 m2. Les visiteurs sont accueillis dans le patio monumental appelé « arbre de vie ». Un espace de recherches généalogiques regroupe 6 000 à 8 000 arbres généalogiques de familles guadeloupéennes. Une passerelle de 11,5 mètres de haut et de 275 mètres de long offre une balade entre ciel et terre qui mène au « Morne Mémoire », un jardin panoramique de 2,2 ha où étaient situés la maison du maître, un vinaigrier et le cimetière d'esclaves. Egalement sur place deux restaurants, un glacier, une librairie, une salle de congrès de 400 m2 et une terrasse ouverte pouvant accueillir jusqu’à 600 personnes. La boutique est située en fin de visite mais elle n'est pas particulièrement signalée. Le Mémorial ACTe a reçu le Prix du musée 2017 du Conseil de l'Europe.
MUSÉE SAINT-JOHN PERSE
9 rue Nozières
✆ 05 90 90 01 92
[email protected]
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h, et le samedi de 8h30 à 12h30. Adultes : 2,50 €, étudiants et enfants (à partir de 6 ans) : 1,50 €.
Cette ancienne maison de Souques-Pagès, un colon esclavagiste, fut occupée à l’époque par les directeurs de l’usine Darboussier. Le musée y fut inauguré en 1987, à l’occasion du centenaire de la naissance de Saint-John Perse, célèbre poète et diplomate, prix Nobel de littérature en 1960, né à Pointe-à-Pitre mais qui n'a jamais vécu dans cette demeure. La bâtisse, classée aux monuments historiques le 17 août 1979 et labellisé "Musée de France" et "Maison des Illustres", abrite une jolie collection de costumes bourgeois, ainsi que des photos, manuscrits et documents appartenant au poète. Son architecture, qui rappelle les constructions de la Nouvelle-Orléans, est réalisée à partir de fer et de briques jaunes. Les expositions permanentes – notamment sur les costumes créoles et sur la vie de Saint-John Perse – sont complétées par les documents de la bibliothèque et de la vidéothèque. Ironie de l'histoire, la maison natale de Saint-John Perse, rue Achille-René-Boisneuf, est quant à elle laissée à l'abandon, malgré les aides de l'Union européenne.
9 rue Nozières
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Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h, et le samedi de 8h30 à 12h30. Adultes : 2,50 €, étudiants et enfants (à partir de 6 ans) : 1,50 €.
Cette ancienne maison de Souques-Pagès, un colon esclavagiste, fut occupée à l’époque par les directeurs de l’usine Darboussier. Le musée y fut inauguré en 1987, à l’occasion du centenaire de la naissance de Saint-John Perse, célèbre poète et diplomate, prix Nobel de littérature en 1960, né à Pointe-à-Pitre mais qui n'a jamais vécu dans cette demeure. La bâtisse, classée aux monuments historiques le 17 août 1979 et labellisé "Musée de France" et "Maison des Illustres", abrite une jolie collection de costumes bourgeois, ainsi que des photos, manuscrits et documents appartenant au poète. Son architecture, qui rappelle les constructions de la Nouvelle-Orléans, est réalisée à partir de fer et de briques jaunes. Les expositions permanentes – notamment sur les costumes créoles et sur la vie de Saint-John Perse – sont complétées par les documents de la bibliothèque et de la vidéothèque. Ironie de l'histoire, la maison natale de Saint-John Perse, rue Achille-René-Boisneuf, est quant à elle laissée à l'abandon, malgré les aides de l'Union européenne.
MUSÉE SCHŒLCHER
24 rue du Peynier
✆ 05 90 82 08 04
www.cg971.fr
[email protected]
Le musée est fermé pour rénovation jusqu'en juillet 2018. A terme, il disposera de 900 m2 de surface répartis sur 3 bâtiments au lieu des 234 m2 actuels. Les expositions sont délocalisées à l'Habitation Beausoleil située à Saint-Claude en Basse-Terre.
Ce musée rend hommage à Victor Schœlcher et à son combat pour l’abolition de l’esclavage et la suppression des inégalités. Destiné par son fondateur à devenir un musée d’Art et d'Histoire, le beau bâtiment néo-classique présente des collections permanentes qui rassemblent des œuvres diverses, de l'Antiquité au XIXe siècle. Ces objets, collectés par l'homme politique éclairé, sont complétés par des dépôts de l’État (moulages, tirages d'estampes et porcelaines). Des expositions temporaires y représentent l'art contemporain en Guadeloupe. Le musée va prochainement s'agrandir et tripler sa surface d'exposition. Depuis 2017, le musée dispose de cartes qui permettront aux visiteurs de localiser les différents sites concernés par l'esclavage. L'itinéraire bénéficie également d'une signalétique routière grâce à des totems en français, créole et anglais qui guident le visiteur vers les différents sites de l'île.
24 rue du Peynier
✆ 05 90 82 08 04
www.cg971.fr
[email protected]
Le musée est fermé pour rénovation jusqu'en juillet 2018. A terme, il disposera de 900 m2 de surface répartis sur 3 bâtiments au lieu des 234 m2 actuels. Les expositions sont délocalisées à l'Habitation Beausoleil située à Saint-Claude en Basse-Terre.
Ce musée rend hommage à Victor Schœlcher et à son combat pour l’abolition de l’esclavage et la suppression des inégalités. Destiné par son fondateur à devenir un musée d’Art et d'Histoire, le beau bâtiment néo-classique présente des collections permanentes qui rassemblent des œuvres diverses, de l'Antiquité au XIXe siècle. Ces objets, collectés par l'homme politique éclairé, sont complétés par des dépôts de l’État (moulages, tirages d'estampes et porcelaines). Des expositions temporaires y représentent l'art contemporain en Guadeloupe. Le musée va prochainement s'agrandir et tripler sa surface d'exposition. Depuis 2017, le musée dispose de cartes qui permettront aux visiteurs de localiser les différents sites concernés par l'esclavage. L'itinéraire bénéficie également d'une signalétique routière grâce à des totems en français, créole et anglais qui guident le visiteur vers les différents sites de l'île.
PAVILLON DE LA VILLE
Ancien presbytère
Rue de la République
Des visites guidées sont réalisées par le service d’animation du patrimoine – ✆ 05 90 21 68 96.
A proximité immédiate de l’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, cet édifice construit en 1845 est parfaitement représentatif de l’architecture antillaise, avec une ossature entièrement en bois et un détail d’importance en façade : son fronton triangulaire. Il est entouré, sur trois côtés, par une galerie en fonte et se dresse au centre d'un très joli jardin. Les travaux de rénovation du bâtiment se sont achevés en 2006. Autrefois propriété privée, puis possession de la paroisse jusqu’en 1992, cet ancien presbytère est désormais classé aux Monuments historiques. Il accueille au rez-de-chaussée le centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine et des expositions temporaires. L’étage est consacré aux expositions permanentes, notamment celles consacrées à l'évolution de la cité des origines à nos jours mais aussi aux caractéristiques de son architecture et à son patrimoine. Le Pavillon de la Ville expose également des pièces remarquables, témoins de la vie liturgique de l'église Saint-Pierre et Saint-Paul, précieusement conservées dans la sacristie de l'église.
Ancien presbytère
Rue de la République
Des visites guidées sont réalisées par le service d’animation du patrimoine – ✆ 05 90 21 68 96.
A proximité immédiate de l’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, cet édifice construit en 1845 est parfaitement représentatif de l’architecture antillaise, avec une ossature entièrement en bois et un détail d’importance en façade : son fronton triangulaire. Il est entouré, sur trois côtés, par une galerie en fonte et se dresse au centre d'un très joli jardin. Les travaux de rénovation du bâtiment se sont achevés en 2006. Autrefois propriété privée, puis possession de la paroisse jusqu’en 1992, cet ancien presbytère est désormais classé aux Monuments historiques. Il accueille au rez-de-chaussée le centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine et des expositions temporaires. L’étage est consacré aux expositions permanentes, notamment celles consacrées à l'évolution de la cité des origines à nos jours mais aussi aux caractéristiques de son architecture et à son patrimoine. Le Pavillon de la Ville expose également des pièces remarquables, témoins de la vie liturgique de l'église Saint-Pierre et Saint-Paul, précieusement conservées dans la sacristie de l'église.
PLACE DE LA VICTOIRE
Plus ancienne place de Pointe-à-Pitre, elle est témoin des combats victorieux de Victor Hugues contre l’assaillant anglais en 1794. Pour célébrer l’événement, on y plante des sabliers, et plus tard des palmiers royaux, des flamboyants et des tulipiers du Gabon. Tous ces beaux arbres, sur fond d’architecture créole du XIXe siècle, composent un plaisant décor, lieu de rendez-vous et de promenade, rectangle central de verdure qui semble rassembler la ville autour de lui. A côté de bâtiments anciens comme le pavillon de la Ville (ancien presbytère), le marché de la Darse (halle à la structure métallique typique du XIXe siècle) et le cinéma Renaissance (désormais fermé), on trouve la sous-préfecture et des maisons coloniales, comme le musée et l'Hôtel Saint-John Perse. Dans le jardin veillent une statue de l’amiral Gourbeyre, le monument aux morts et un kiosque à musique. Animée par des commerces ambulants (snacks et vente à emporter), elle se visite en journée. Il est préférable d'éviter sa fréquentation à pied à la tombée de la nuit.
Plus ancienne place de Pointe-à-Pitre, elle est témoin des combats victorieux de Victor Hugues contre l’assaillant anglais en 1794. Pour célébrer l’événement, on y plante des sabliers, et plus tard des palmiers royaux, des flamboyants et des tulipiers du Gabon. Tous ces beaux arbres, sur fond d’architecture créole du XIXe siècle, composent un plaisant décor, lieu de rendez-vous et de promenade, rectangle central de verdure qui semble rassembler la ville autour de lui. A côté de bâtiments anciens comme le pavillon de la Ville (ancien presbytère), le marché de la Darse (halle à la structure métallique typique du XIXe siècle) et le cinéma Renaissance (désormais fermé), on trouve la sous-préfecture et des maisons coloniales, comme le musée et l'Hôtel Saint-John Perse. Dans le jardin veillent une statue de l’amiral Gourbeyre, le monument aux morts et un kiosque à musique. Animée par des commerces ambulants (snacks et vente à emporter), elle se visite en journée. Il est préférable d'éviter sa fréquentation à pied à la tombée de la nuit.
SANG, CHAÎNES - 100 CHAÎNES - SANS CHAÎNE
Place de la Victoire
Monument érigé en mémoire des événements du 26 mai 1967, lorsqu'un épisode dramatique de la lutte syndicale fit près de cent victimes. Les ouvriers agricoles réclamaient à l'époque une augmentation des salaires et la parité en matière de droits sociaux, mais les négociations échouèrent. Les ouvriers se rassemblèrent alors devant la Chambre de Commerce et d'Industrie de Pointe-à-Pitre, où les forces de l’ordre, appelées sur les lieux, finirent par tirer sur la foule. La nouvelle se répandit très vite en ville, et les affrontements s’étendirent à tous les quartiers faisant de nombreuses victimes. Le bilan officiel, sous-estimé pour certains, fait état de 97 morts, en l'honneur desquels cette sculpture fut édifiée.
Place de la Victoire
Monument érigé en mémoire des événements du 26 mai 1967, lorsqu'un épisode dramatique de la lutte syndicale fit près de cent victimes. Les ouvriers agricoles réclamaient à l'époque une augmentation des salaires et la parité en matière de droits sociaux, mais les négociations échouèrent. Les ouvriers se rassemblèrent alors devant la Chambre de Commerce et d'Industrie de Pointe-à-Pitre, où les forces de l’ordre, appelées sur les lieux, finirent par tirer sur la foule. La nouvelle se répandit très vite en ville, et les affrontements s’étendirent à tous les quartiers faisant de nombreuses victimes. Le bilan officiel, sous-estimé pour certains, fait état de 97 morts, en l'honneur desquels cette sculpture fut édifiée.
SOUS-PRÉFECTURE
Place de la Victoire
✆ 05 90 82 68 68
www.guadeloupe.pref.gouv.fr
Ouverture : lundi, mardi et jeudi de 8h à 15h30 ; mercredi et vendredi de 8h à 11h30.
Ce bâtiment construit au milieu du XIXe siècle est à cette époque une caserne d’infanterie. Les peintures extérieures de couleurs vives n’estompent pas malgré tout son style militaire.
Place de la Victoire
✆ 05 90 82 68 68
www.guadeloupe.pref.gouv.fr
Ouverture : lundi, mardi et jeudi de 8h à 15h30 ; mercredi et vendredi de 8h à 11h30.
Ce bâtiment construit au milieu du XIXe siècle est à cette époque une caserne d’infanterie. Les peintures extérieures de couleurs vives n’estompent pas malgré tout son style militaire.
STATUE DE VÉLO
Rue Nozière
C'est sous l'impulsion du mouvement culturel Akiyo que cette œuvre en bronze du sculpteur Jacky Poullier a été créée et inaugurée lors d'une cérémonie solennelle le 5 juin 2004 à Pointe-à-Pitre. La statue, inspirée de Marcel Lollia dit "Vélo", incarne ce célèbre joueur de tambour traditionnel ayant, vers la fin des années 1970, contribué à faire renaître le gwo ka (tambour traditionnel) en Guadeloupe. C'est autour de sa statue que tous les samedis matin, la communauté rasta et les joueurs de gwo ka se réunissent symboliquement. Ils vous feront découvrir les sonorités de ces tambours à l'influence africaine marquée (bien que les percussions utilisées dans les Caraïbes soient différentes).
Rue Nozière
C'est sous l'impulsion du mouvement culturel Akiyo que cette œuvre en bronze du sculpteur Jacky Poullier a été créée et inaugurée lors d'une cérémonie solennelle le 5 juin 2004 à Pointe-à-Pitre. La statue, inspirée de Marcel Lollia dit "Vélo", incarne ce célèbre joueur de tambour traditionnel ayant, vers la fin des années 1970, contribué à faire renaître le gwo ka (tambour traditionnel) en Guadeloupe. C'est autour de sa statue que tous les samedis matin, la communauté rasta et les joueurs de gwo ka se réunissent symboliquement. Ils vous feront découvrir les sonorités de ces tambours à l'influence africaine marquée (bien que les percussions utilisées dans les Caraïbes soient différentes).
Visites guidées
AÉRO PRESTATIONS
483 rue de la documentation
✆ 06 90 58 89 70
[email protected]
Baptême de l’air de 20 mn à 75 €. Exemple de survol panoramique au départ de Pointe-à-pitre : Nord Grande-Terre ou Sud Grande-Terre de 30 min à 110 €. Tarifs sur la base de 2 personnes. + 25 % pour une personne seule. Supplément pour un départ des dépendances.Plusieurs survols touristiques sont possibles au départ de Marie Galante, Les Saintes, la Désirade, Baillif ou Saint- François. Patrick Amable est pilote professionnel et instructeur en vol. Il propose des survols en avion de l’archipel afin de constater que « d’en haut, c’est encore plus beau », comme l'annnonce son slogan. Vous pourrez ainsi apprécier des panoramas inédits, car la Guadeloupe, vue du ciel, constitue une véritable palette de paysages aux teintes oscillant entre le vert émeraude et le bleu turquoise.
483 rue de la documentation
✆ 06 90 58 89 70
[email protected]
Baptême de l’air de 20 mn à 75 €. Exemple de survol panoramique au départ de Pointe-à-pitre : Nord Grande-Terre ou Sud Grande-Terre de 30 min à 110 €. Tarifs sur la base de 2 personnes. + 25 % pour une personne seule. Supplément pour un départ des dépendances.Plusieurs survols touristiques sont possibles au départ de Marie Galante, Les Saintes, la Désirade, Baillif ou Saint- François. Patrick Amable est pilote professionnel et instructeur en vol. Il propose des survols en avion de l’archipel afin de constater que « d’en haut, c’est encore plus beau », comme l'annnonce son slogan. Vous pourrez ainsi apprécier des panoramas inédits, car la Guadeloupe, vue du ciel, constitue une véritable palette de paysages aux teintes oscillant entre le vert émeraude et le bleu turquoise.
NATURE EXPÉRIENCE
Bâtiment Lardenoy
17 Centre Saint-John-Perse
✆ 05 90 88 51 58 / +590 690 835 835 / +590 690 218 836
www.nature-experience.net
[email protected], [email protected]
Nature Expérience est une structure spécialisée dans l’organisation d’excursions axées sur la nature et l’écotourisme. Vous êtes encadré par des guides et accompagnateurs de montagne qui vous feront partager leur passion pour l'histoire et la nature de toute la Caraïbe. Possibilité d'organiser une randonnée sur mesure.
Bâtiment Lardenoy
17 Centre Saint-John-Perse
✆ 05 90 88 51 58 / +590 690 835 835 / +590 690 218 836
www.nature-experience.net
[email protected], [email protected]
Nature Expérience est une structure spécialisée dans l’organisation d’excursions axées sur la nature et l’écotourisme. Vous êtes encadré par des guides et accompagnateurs de montagne qui vous feront partager leur passion pour l'histoire et la nature de toute la Caraïbe. Possibilité d'organiser une randonnée sur mesure.
SERVICE D’ANIMATION DU PATRIMOINE DE POINTE-A-PITRE – CENTRE JOSE MARTY
Rue José-Marty
✆ 05 90 21 68 91
www.vpah.culture.fr/guadeloupe/pointe-visites.htm
[email protected]
Face au cinéma Rex.
Visites organisées le mardi, mercredi, vendredi et samedi après-midi à partir de 14h30. Contactez le service du patrimoine pour connaître le programme mensuel. Tarif : 6 €/personne, gratuit pour les -9 ans. Durant les vacances scolaires : 2,50 €.
Dans ce centre municipal qui abrite plusieurs services (affaires culturelles, bibliothèque, CCAS et poste de police), le service du patrimoine organise mensuellement des visites guidées à la découverte de Pointe-à-Pitre : architecture du XXe siècle, places, bords des quais, cimetière, maisons traditionnelles... Les inscriptions doivent se faire à l'avance. Le programme est édité chaque mois ; les visites durent en moyenne 1h30. Visite guidée du musée Saint-John Perse sur demande, pour des groupes de 5 personnes minimum.
Rue José-Marty
✆ 05 90 21 68 91
www.vpah.culture.fr/guadeloupe/pointe-visites.htm
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Face au cinéma Rex.
Visites organisées le mardi, mercredi, vendredi et samedi après-midi à partir de 14h30. Contactez le service du patrimoine pour connaître le programme mensuel. Tarif : 6 €/personne, gratuit pour les -9 ans. Durant les vacances scolaires : 2,50 €.
Dans ce centre municipal qui abrite plusieurs services (affaires culturelles, bibliothèque, CCAS et poste de police), le service du patrimoine organise mensuellement des visites guidées à la découverte de Pointe-à-Pitre : architecture du XXe siècle, places, bords des quais, cimetière, maisons traditionnelles... Les inscriptions doivent se faire à l'avance. Le programme est édité chaque mois ; les visites durent en moyenne 1h30. Visite guidée du musée Saint-John Perse sur demande, pour des groupes de 5 personnes minimum.
Shopping
MARCHÉ AUX FLEURS
Face à la basilique Saint-Pierre et Saint-Paul.
Ouvert tous les jours de 6h à 14h.
Pour ceux qui souhaitent acheter des fleurs tropicales moins chères qu'à l'aéroport – ou juste pour le plaisir des yeux !
Face à la basilique Saint-Pierre et Saint-Paul.
Ouvert tous les jours de 6h à 14h.
Pour ceux qui souhaitent acheter des fleurs tropicales moins chères qu'à l'aéroport – ou juste pour le plaisir des yeux !
MARCHÉ CENTRAL
A l’angle des rues Thiers et Frébault
Situé à l’angle des rues Thiers et Frébault. Ouvert du lundi au samedi de 6h à 14h. Fermé les dimanches et jours fériés.
Le lieu est particulièrement animé. Il s'agit d'un des plus anciens marchés de la ville, sur ce qui était autrefois la place Royale (puis la place de la Liberté) ; il accueillait à l'origine les maraîchers sous une halle en bois qui a été détruite par un incendie en 1871. Les nouvelles halles métalliques ont été inaugurées en 1874. Depuis le début des années 1980, les maraîchers ont quitté les lieux et sont désormais installés au marché de Bergevin. L'ambiance sur le marché central est bruyante, colorée et parfumée par les fruits et épices qui y sont présentés. Vous y trouverez également des punchs, de la vannerie ou des philtres d'amour... Certaines des marchandes arborent la tenue traditionnelle avec la coiffe. Il est conseillé de demander l'autorisation avant de prendre une photo. Ce marché est également connu sous le nom de marché Saint-Antoine, faisant référence, à l'époque, à un magasin de tissus qui existait à proximité.
A l’angle des rues Thiers et Frébault
Situé à l’angle des rues Thiers et Frébault. Ouvert du lundi au samedi de 6h à 14h. Fermé les dimanches et jours fériés.
Le lieu est particulièrement animé. Il s'agit d'un des plus anciens marchés de la ville, sur ce qui était autrefois la place Royale (puis la place de la Liberté) ; il accueillait à l'origine les maraîchers sous une halle en bois qui a été détruite par un incendie en 1871. Les nouvelles halles métalliques ont été inaugurées en 1874. Depuis le début des années 1980, les maraîchers ont quitté les lieux et sont désormais installés au marché de Bergevin. L'ambiance sur le marché central est bruyante, colorée et parfumée par les fruits et épices qui y sont présentés. Vous y trouverez également des punchs, de la vannerie ou des philtres d'amour... Certaines des marchandes arborent la tenue traditionnelle avec la coiffe. Il est conseillé de demander l'autorisation avant de prendre une photo. Ce marché est également connu sous le nom de marché Saint-Antoine, faisant référence, à l'époque, à un magasin de tissus qui existait à proximité.
MARCHÉ D'ART
Quai Gatine
Ouvert tous les jours de 6h à 14h30 sauf les jours fériés.
C'est le lieu dédié à la production locale, entre bijoux, bibelots, tee-shirts, poupées créoles... Une bonne raison de s'y rendre : encourager ces petits artisans.
Quai Gatine
Ouvert tous les jours de 6h à 14h30 sauf les jours fériés.
C'est le lieu dédié à la production locale, entre bijoux, bibelots, tee-shirts, poupées créoles... Une bonne raison de s'y rendre : encourager ces petits artisans.
MARCHÉ DE BERGEVIN
Boulevard de l’Amitié des Peuples de la Caraïbe
A proximité de la gare routière et de l'entrée du port autonome.
Ouvert du lundi au mercredi de 3h à 13h, le jeudi et le vendredi de 3h à 20h, et le samedi de 3h à 12h.
Ce marché n'est pas le plus fréquenté par les touristes, mais il est bien connu de la population car ses prix y sont parmi les plus bas. Sur les étals, des fruits, des légumes de pays, des épices et du poisson frais.
Boulevard de l’Amitié des Peuples de la Caraïbe
A proximité de la gare routière et de l'entrée du port autonome.
Ouvert du lundi au mercredi de 3h à 13h, le jeudi et le vendredi de 3h à 20h, et le samedi de 3h à 12h.
Ce marché n'est pas le plus fréquenté par les touristes, mais il est bien connu de la population car ses prix y sont parmi les plus bas. Sur les étals, des fruits, des légumes de pays, des épices et du poisson frais.
MARCHÉ DE LA DARSE DE POINTE-A-PITRE
Place de la Victoire
Ouvert du lundi au samedi de 6h à 13h. Pas de marché le dimanche et les jours fériés.
C’est l’occasion de faire une balade pittoresque, surtout le samedi matin, et d’acheter du poisson frais directement aux pêcheurs. La Darse représentait le lieu de mouillage des bateaux en provenance des îles environnantes pour venir vendre leur production. L'ancienne halle datait de 1928 et avait été construite par l'architecte Ali Tur. Devenue vétuste et ne répondant plus aux normes d'hygiène, elle a été détruite pour laisser place à un nouvel espace de 300 m2. Vous trouverez les épices sous les halles (cannelle, safran moulu à un prix intéressant, mélange pour colombo, anis étoilé, girofle, poivre vert, vanille fraîche, coriandre en grain, fenugrec pour accompagner les viandes grillées, graines roucou qui parfument et colorent l’huile ou les courts-bouillons de poisson, etc.).
Place de la Victoire
Ouvert du lundi au samedi de 6h à 13h. Pas de marché le dimanche et les jours fériés.
C’est l’occasion de faire une balade pittoresque, surtout le samedi matin, et d’acheter du poisson frais directement aux pêcheurs. La Darse représentait le lieu de mouillage des bateaux en provenance des îles environnantes pour venir vendre leur production. L'ancienne halle datait de 1928 et avait été construite par l'architecte Ali Tur. Devenue vétuste et ne répondant plus aux normes d'hygiène, elle a été détruite pour laisser place à un nouvel espace de 300 m2. Vous trouverez les épices sous les halles (cannelle, safran moulu à un prix intéressant, mélange pour colombo, anis étoilé, girofle, poivre vert, vanille fraîche, coriandre en grain, fenugrec pour accompagner les viandes grillées, graines roucou qui parfument et colorent l’huile ou les courts-bouillons de poisson, etc.).
QUAI LEFÈVRE
Du lundi au samedi de 6h à 14h. Fermé les jours fériés.
Sur ce quai, attenant au port de croisière d'où sortent les touristes en escale, se trouvent des marchands de babioles et de vêtements. Si vous venez en voiture, garez-vous un peu à l'écart pour pouvoir trouver une place.
Du lundi au samedi de 6h à 14h. Fermé les jours fériés.
Sur ce quai, attenant au port de croisière d'où sortent les touristes en escale, se trouvent des marchands de babioles et de vêtements. Si vous venez en voiture, garez-vous un peu à l'écart pour pouvoir trouver une place.
RUE SAINT-JOHN-PERSE
Rue Saint-John-Perse
www.ville-pointeapitre.fr
C'est l'artère la plus commerçante de la ville, dans le prolongement de la place de la Victoire et de la Darse. Vous y trouverez de nombreuses boutiques (de plus en plus de prêt-à-porter), et des petits bars où prendre un verre. Tous les matins, le quartier est très animé. C'est le passage obligé des touristes qui débarquent des bateaux de croisière. Attention, à Pointe-à-Pitre, les commerces sont fermés le samedi après-midi et le dimanche.
Rue Saint-John-Perse
www.ville-pointeapitre.fr
C'est l'artère la plus commerçante de la ville, dans le prolongement de la place de la Victoire et de la Darse. Vous y trouverez de nombreuses boutiques (de plus en plus de prêt-à-porter), et des petits bars où prendre un verre. Tous les matins, le quartier est très animé. C'est le passage obligé des touristes qui débarquent des bateaux de croisière. Attention, à Pointe-à-Pitre, les commerces sont fermés le samedi après-midi et le dimanche.